Une rouennaise vous écrit (enfin Sottevillaise exactement).
Merci pour ce récap vrai qui évoque tes galères de 2024. Mais il y a toujours quelques éclats de lumière, des lueurs laissant entrevoir des jours meilleurs.
Je pense qu'effectivement les ateliers sont des bouffées d'oxygène autant pour écrire que pour faire de belles rencontres. Et se confronter à ses propres mots et aux mots des autres.
Et selon, l'animation, ça permet d'évoluer, de découvrir des moyens différents de ses propres habitudes pour créer.
Je suis sûre que 2025 sera propice à une année "balaise".
Au plaisir de continuer à te lire (et à rattraper mon retard).
Merci Sophie pour ce message venu de ma terre normande 😉 Oui, les ateliers c’est un véritable espace créatif et à la fois il ne faut pas tomber dans l’addiction qui prive de temps pour développer une écriture en continu… Je cherche aussi à trouver ce bel équilibre. A bientôt!
Coucou Rebecca. C'est toujours un plaisir de te lire et d'avoir de tes nouvelles. Moi aussi je fais les ateliers de Laura Vasquez. Ne lâche pas, tu as vraiment du talent, c'est génial que tu écrives tous les jours (oui j'ai aussi fait son atelier "écrire tous les jours"). Je t'embrasse
Oui! J’ai lu que ses ateliers avaient occupé une partie de ton temps de fin d’année :) Nous partageons donc cela. Merci pour ton message, je t’embrasse à mon tour et te souhaite une année 2025 riche de joie partout où tu dessines ton chemin
Merci pour ce récap en demi teinte mais qui a l'audace je dirais de dire le vrai...le vide...les expériences...pas toujours dans le sens où l'on voudrait.
J'ai comme une impression que la suite arrive.
Les grands projets comme Rouen 2028 qui sont collectifs et colossales amènent à voir le futur et je pense qu'il est assez normal de devoir réattérir et que le présent paraisse vide même si on sait qu'au réel il ne l'ai pas.
Merci Gaelle pour le vrai aussi que je ressens dans ton message. Comme on dit, la nature a horreur du vide alors laissons là faire pour emplir mon année 2025 (je dois l’y aider tout de même…)
Chère Rebecca je vous redécouvre sur cette newsletter que j’ai pris plaisir à découvrir après vous avoir cherché désespérément sur insta ( j’adorais vos lectures en story durant le COVID)
Votre authenticité sur votre retrospective 2024 et vos défis et le syndromes du j’y vais j’y vais pas que je partage tellement (a niveau bien moindre puisque j’écris mais je n’arrive plus à arriver au bout des choses) et je me sens moins seule dans ce sentiment angoissant qui parfois terrorise démoralisé et paralyse.
Néanmoins j’ai adoré votre idée de mettre en voix et en scène votre livre alors ne perdez surtout pas cette idée ne la laissez pas filer. Quand elle trouvera sa voie vous le saurez.
Merci Elodie pour vos encouragements mais aussi de partager avec moi cette même sensation que nous vivons. Il est important de dire, même si ce n’est pas évident dans ce monde de la performance permanente, car dès qu’on se sent moins seule, on gagne en force ! C’est d’ailleurs l’un des moteurs de l’écriture de « un deux trois ». A vite !
Je suis bien désolée de lire tes mots qui grattent de cette semaine.
2024 ne t'a en effet pas épargné, et j'espère de tout cœur que cette nouvelle année te prendra dans ses bras avec plus de douceur. Bien sûr que tu dois mettre en scène ton texte, et je pense que tu peux initier le projet même si personne ne te répond. Tu as une voix belle et forte, une présence, tu connais certainement beaucoup de personnes dans le milieu du théâtre qui t'aideraient à monter ça, non ? Ose, ose ! En tout cas, penses-y.
Et pour ce qui est de montrer ton livre aux libraires que tu connais, je dirais de ne pas hésiter. Au pire, tu risques un "non, nous n'avons pas de place", au mieux, tu leur feras le plaisir de découvrir et d'accueillir une nouvelle poétesse. Haut les cœurs, Rébecca ! Profite de cette nouvelle année pour te lancer des défis. Oui, je sais, il faut oser ne pas relier écriture et factures ou frigo, mais je suis sûre que les choses peuvent s'enclencher pour que les deux domaines s'alimentent l'un l'autre. Courage !
Je t'embrasse, et t'envoie beaucoup de force et d'amour.
Merciii Isabelle pour tes encouragements ! Il faut que je prenne mon courage et que je passe chez les libraires… Je serai en centre-ville jeudi. Pourquoi pas ? Je te tiens au courant :) et pour le monde du théâtre je crains le « oui » pour faire plaisir mais sans y croire. D’abord l’objectif librairies !
Peut-être pourrais-tu proposer une lecture dessinée de ton livre dans le cadre d'un festival de poésie ou de BD, celui de Colomiers est très fameux. Il y a à Toulouse pas mal d'auteurices de Bd, et si tu pouvais en rencontrer une intéressée pour monter ce petit projet avec toi, ce ne serait ni très long en temps ni couteux en argent, et cela te permettrait de créer quelque chose à partir de ta publication. Renseigne-toi à la librairie Ombre blanche pour la liste des autrices qui vivent à Toulouse. Je réfléchis de mon côté.
Chère Rebecca
Une rouennaise vous écrit (enfin Sottevillaise exactement).
Merci pour ce récap vrai qui évoque tes galères de 2024. Mais il y a toujours quelques éclats de lumière, des lueurs laissant entrevoir des jours meilleurs.
Je pense qu'effectivement les ateliers sont des bouffées d'oxygène autant pour écrire que pour faire de belles rencontres. Et se confronter à ses propres mots et aux mots des autres.
Et selon, l'animation, ça permet d'évoluer, de découvrir des moyens différents de ses propres habitudes pour créer.
Je suis sûre que 2025 sera propice à une année "balaise".
Au plaisir de continuer à te lire (et à rattraper mon retard).
Merci Sophie pour ce message venu de ma terre normande 😉 Oui, les ateliers c’est un véritable espace créatif et à la fois il ne faut pas tomber dans l’addiction qui prive de temps pour développer une écriture en continu… Je cherche aussi à trouver ce bel équilibre. A bientôt!
Coucou Rebecca. C'est toujours un plaisir de te lire et d'avoir de tes nouvelles. Moi aussi je fais les ateliers de Laura Vasquez. Ne lâche pas, tu as vraiment du talent, c'est génial que tu écrives tous les jours (oui j'ai aussi fait son atelier "écrire tous les jours"). Je t'embrasse
Oui! J’ai lu que ses ateliers avaient occupé une partie de ton temps de fin d’année :) Nous partageons donc cela. Merci pour ton message, je t’embrasse à mon tour et te souhaite une année 2025 riche de joie partout où tu dessines ton chemin
Merci pour ce récap en demi teinte mais qui a l'audace je dirais de dire le vrai...le vide...les expériences...pas toujours dans le sens où l'on voudrait.
J'ai comme une impression que la suite arrive.
Les grands projets comme Rouen 2028 qui sont collectifs et colossales amènent à voir le futur et je pense qu'il est assez normal de devoir réattérir et que le présent paraisse vide même si on sait qu'au réel il ne l'ai pas.
Douce suite...
Merci Gaelle pour le vrai aussi que je ressens dans ton message. Comme on dit, la nature a horreur du vide alors laissons là faire pour emplir mon année 2025 (je dois l’y aider tout de même…)
Merci de ce moment passé à vous lire à vous suivre tout au long de cette rétrospective de l'année 2024
2025 n'en sera que plus belle
et si vous alliez rencontrer Myriam OH https://myriam-oh.com/
sait-on jamais
Continuez à nous enchanter par vos mots
une bonne nouvelel ne va pas tarder... j'en suis persuadée
@ vous lire et relire
Danielle
Merci Danielle pour ce message et la joie (la foi aussi) qui l’habite. Je vais aller découvrir cette poétesse de ce pas !
Chère Rebecca je vous redécouvre sur cette newsletter que j’ai pris plaisir à découvrir après vous avoir cherché désespérément sur insta ( j’adorais vos lectures en story durant le COVID)
Votre authenticité sur votre retrospective 2024 et vos défis et le syndromes du j’y vais j’y vais pas que je partage tellement (a niveau bien moindre puisque j’écris mais je n’arrive plus à arriver au bout des choses) et je me sens moins seule dans ce sentiment angoissant qui parfois terrorise démoralisé et paralyse.
Néanmoins j’ai adoré votre idée de mettre en voix et en scène votre livre alors ne perdez surtout pas cette idée ne la laissez pas filer. Quand elle trouvera sa voie vous le saurez.
Merci Elodie pour vos encouragements mais aussi de partager avec moi cette même sensation que nous vivons. Il est important de dire, même si ce n’est pas évident dans ce monde de la performance permanente, car dès qu’on se sent moins seule, on gagne en force ! C’est d’ailleurs l’un des moteurs de l’écriture de « un deux trois ». A vite !
Chère Rébecca,
Je suis bien désolée de lire tes mots qui grattent de cette semaine.
2024 ne t'a en effet pas épargné, et j'espère de tout cœur que cette nouvelle année te prendra dans ses bras avec plus de douceur. Bien sûr que tu dois mettre en scène ton texte, et je pense que tu peux initier le projet même si personne ne te répond. Tu as une voix belle et forte, une présence, tu connais certainement beaucoup de personnes dans le milieu du théâtre qui t'aideraient à monter ça, non ? Ose, ose ! En tout cas, penses-y.
Et pour ce qui est de montrer ton livre aux libraires que tu connais, je dirais de ne pas hésiter. Au pire, tu risques un "non, nous n'avons pas de place", au mieux, tu leur feras le plaisir de découvrir et d'accueillir une nouvelle poétesse. Haut les cœurs, Rébecca ! Profite de cette nouvelle année pour te lancer des défis. Oui, je sais, il faut oser ne pas relier écriture et factures ou frigo, mais je suis sûre que les choses peuvent s'enclencher pour que les deux domaines s'alimentent l'un l'autre. Courage !
Je t'embrasse, et t'envoie beaucoup de force et d'amour.
isabelle
Merciii Isabelle pour tes encouragements ! Il faut que je prenne mon courage et que je passe chez les libraires… Je serai en centre-ville jeudi. Pourquoi pas ? Je te tiens au courant :) et pour le monde du théâtre je crains le « oui » pour faire plaisir mais sans y croire. D’abord l’objectif librairies !
Peut-être pourrais-tu proposer une lecture dessinée de ton livre dans le cadre d'un festival de poésie ou de BD, celui de Colomiers est très fameux. Il y a à Toulouse pas mal d'auteurices de Bd, et si tu pouvais en rencontrer une intéressée pour monter ce petit projet avec toi, ce ne serait ni très long en temps ni couteux en argent, et cela te permettrait de créer quelque chose à partir de ta publication. Renseigne-toi à la librairie Ombre blanche pour la liste des autrices qui vivent à Toulouse. Je réfléchis de mon côté.
Merci Isabelle ! C’est une belle piste que tu entrouvres ici !